Chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou (Photo DR)
À travers une lettre adressée à la tutelle et au wali de Tizi-Ouzou, les rédacteurs ont donné un ultimatum de 10 jours à partir d’aujourd’hui, avant de passer à des actions de rigueur.
« Dans le cas de la non-prise en charge rationnelle et urgente de nos revendications, la corporation se réserve le droit d’user de tous les moyens légaux et constitutionnels afin de recouvrer ses droits et sa dignité », écrivent-ils.
Ils réclament l’élaboration et l’application, en toute urgence, du régime indemnitaire et de revoir la totalité du statut prévu par la tutelle, dans le respect de l’avis des travailleurs du secteur.
« Quel statut réserve l’État à ces oublies de la hiérarchie ? La lueur d’espoir se résumait à l’affectation d’un statut particulier digne du rôle et des prérogatives des agents du commerce, après tant d’années d’ingratitudes et de laisser pour compte », concluent les rédacteurs de la lettre.
tt
SIWEL 7 1524 MAR 11
« Dans le cas de la non-prise en charge rationnelle et urgente de nos revendications, la corporation se réserve le droit d’user de tous les moyens légaux et constitutionnels afin de recouvrer ses droits et sa dignité », écrivent-ils.
Ils réclament l’élaboration et l’application, en toute urgence, du régime indemnitaire et de revoir la totalité du statut prévu par la tutelle, dans le respect de l’avis des travailleurs du secteur.
« Quel statut réserve l’État à ces oublies de la hiérarchie ? La lueur d’espoir se résumait à l’affectation d’un statut particulier digne du rôle et des prérogatives des agents du commerce, après tant d’années d’ingratitudes et de laisser pour compte », concluent les rédacteurs de la lettre.
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